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catie64 **** 
le 18/01/22 à12:43

Re: Cas de conscience

Carrie, je pense que tu fais le choix de la raison. Si la priorité de ces parents est le bien être de leur enfant, ils comprendront qu'ils ont fait le bon choix en te le confiant car tu mets en avant la qualité du relationnel comme un élément essentiel de ta pratique professionnelle.

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carrie *** 
le 18/01/22 à12:56

Re: Cas de conscience

Merci Catie64, c'est mon credo et ma priorité lors des entretiens, mais comme c'est difficile parfois...

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griselda ***** 
le 18/01/22 à13:08

Re: Cas de conscience

Je ne pense pas être si magnanime, j'essaie de comprendre (pas excuser!) qu'est ce qui pousse un PE à mentir et si dans certains cas on peut s'éviter ces désagréments.
Surtout quand on est obligé de compter sur les ARE pour payer nos factures, la démission qd on découvre le pot aux roses n'étant pas tjrs possible.

Moi la 1ere je ne souhaite pas un contrat pour juste 3 ou 6 mois et pas non plus qu'on vienne me demander un changement d'horaire en cours de route, c'est mon pt de vue d'AM qui se défend parfaitement.
Ms si le PE qd il annonce la couleur ne trouve alors pas d'AM, quelle solution s'offre à lui? Il ne pourra pas imposer un changement d'horaire (ouf!) mais rien ne pourra l’empêcher de rompre le contrat quelque soit la raison, c'est un fait.

D'ailleurs nous non plus rien ne peux nous empêcher de démissionner... si on a les moyens de se passer de l'ARE.
L'AM peut signer un contrat tout en sachant qu'elle a l'intention de déménager ou d’arrêter ce métier ou de faire un bébé et même prendre un congés parental. Aucune loi ne l'oblige à annoncer son projet avant et le PE aussi pourra trouver que c'est malhonnête, injuste.
Qd j'ai eut mon 1er Agrément je suis tombée enceinte juste un mois après et était en train de faire construire. J'ai donc à chaque fois averti, par transparence et bien je n'ai eut aucun contrat avant d'avoir déménagé (accouché aussi): logique!

Comme on ne pourra pas empêcher que ça arrive et pas tjrs de façon préméditée d'ailleurs. Je réfléchis à la façon de limiter les effets, au moins pour moi.

Ceci étant dit, ds le cas précis que tu décris là, je crains qu'aucune mesure ne pourra te protéger de quelqu'un de viscéralement menteur-manipulateur et que la seule solution sera de rompre le contrat, de préférence en les convainquant de te licencier. Je crains aussi que personne n'a le pouvoir de repérer ce genre de profil avant de signer le contrat. Heureusement, c'est qd même pas la plupart des PE ainsi sinon on va devenir chèvre ;-)

Tiens ns au courant.

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liline17 ***** 
le 18/01/22 à13:40

Re: Cas de conscience

Pour éviter les PE qui prévoient de déménager ou d'avoir une place en crèche prochainement, je mets à présent un préavis d'1 mois dès le début du contrat, comme ils sont au courant avant de signer, ils ne me choisiront pas.
Et je demande la prime de licenciement sans condition d'ancienneté.
Avec la réforme, j'ai revu mes contrats.

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carrie *** 
le 18/01/22 à13:41

Re: Cas de conscience

Je tenais juste à ajouter une chose, je déteste le mot "convoquer" ça c'est pour le tribunal ou le commissariat ou le bureau du principal, etc...

Désolée d'avoir employé ce terme, cela ne me ressemble pas, comme quoi je ne suis vraiment pas dans mon état normal, je leur ai évidemment proposé un RDV pour faire le point.
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